– Se convaincre que rien ne va marcher. Au contraire, il faut s’attendre à des résultats positifs.
– S’arrêter après un cycle sans résultat, alors qu’on n’a même pas fait le minimum nécessaire de quatre cycles.
– Au réveil, bouger au lieu de rester immobile.
– Le soir, pratiquer des techniques directes. Le soir, aussi, pratiquer des techniques indirectes alors que les techniques indirectes se pratiquent sur le matin, au réveil.
– Exécuter des techniques indirectes bien trop longtemps (deux minutes ou plus). C’est généralement une totale perte de temps.
– Changer de technique alors que celle qu’on effectuait commençait à donner du résultat. Au contraire, il faut persévérer.
· Vaguement exécuter les techniques alors qu’il faut être déterminé et très volontaire.
– S’acharner trop longtemps sur chaque technique séparément quand il n’y a pas de résultat. Au lieu de cela, il faut passer d’une technique à l’autre en quelques secondes.
– Trop de réflexions et d’analyses quant à la situation alors qu’effectuer les techniques indirectes exige tranquillité mentale et calme intérieur.
– Arrêter sa pratique pour se concentrer sur les sensations inhabituelles qui surviennent. Au contraire, il faut continuer d’effectuer la technique qui vient de donner ces résultats.
– Au réveil, attendre beaucoup trop longtemps. Or, il faut effectuer des techniques immédiatement.
– Essayer prématurément une séparation, au lieu de continuer ses techniques jusqu’à l’obtention d’un réel état de la phase prédissociative.
– Retenir sa respiration à l’apparition de sensations inhabituelles. Au contraire, quand cela arrive, restez calme !
– Ouvrir les yeux alors que les seuls mouvements autorisés sont la respiration et la mobilisation des yeux sous les paupières fermées.
– Trop forte émotion au lieu d’être détendu.
– Arrêter sa tentative de séparation alors même qu’il y avait un début de réussite. Il faut persévérer.
– En effectuant les techniques, contracter les muscles physiques. Bien au contraire, il faut être physiquement hyper relax.
– S’abstenir de pratiquer après un réveil qui semble trop net. Au contraire, c’est un excellent moment pour appliquer ces techniques, en particulier si ce réveil est sans mouvement.
– Penser aux techniques au lieu de vraiment les comprendre et les mettre en pratique ; cela ne concerne pas les rotations ni d’autres techniques fondées sur l’imagination.
– Se contenter de simples balancements du corps subtil au lieu d’employer toute sa détermination pour augmenter l’amplitude du mouvement.
– S’endormir pendant la somnolence volontaire, au lieu de maintenir la ferme intention de poursuivre ses efforts pendant seulement 5 à 10 petites secondes.
– Scruter en détail les images lorsqu’on utilise la technique des images internes. Or, c’est toute l’image qui doit être observée panoramiquement, sinon elle va disparaître.
– Essayer d’influencer les images que vous observez, au lieu de juste accueillir celles qui se présentent naturellement.
– Se contenter de vaguement entendre du bruit quand on emploie la technique de l’écoute du son interne, au lieu d’essayer d’être très attentif pour pouvoir distinguer des sons.
